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Cet article pourrait ne pas intéresser des personnes disciplinées et productives, elles auraient tort : comprendre d’autres profils est toujours utile, et on finit toujours par procrastiner soi-même sur quelque chose 🙂

Procrastiner : un verbe peu reluisant à l’heure de la productivité et de la performance. Il consiste à remettre à plus tard ce qu’on pourrait faire maintenant. Les raisons sont multiples : oubli, manque de motivation, priorisation d’autres tâches… ou loisirs. La tendance à la procrastination est plus ou moins importante selon les individus et les tâches à réaliser : pour certains c’est communiquer qui est difficile, d’autres c’est de faire.

Voici une vidéo illustrant parfaitement le mécanisme de la procrastination. A regarder jusque la fin, celle-ci étant riche !

Il est parfois difficile de trouver de la motivation pour des tâches ennuyeuses ou difficiles (mais qu’il faut quand même faire, type déclaration d’impôts, notes de frais, repassage, etc.). Le problème, c’est qu’en attendant la difficulté s’amplifie car les tâches s’accumulent et le temps pour les faire diminue, on tombe vite dans un cercle vicieux et insoluble où la personne repousse davantage au vu de la difficulté croissante et finit par ne pas faire, mal faire ou craquer. Le plus souvent ce n’est pas la tâche en elle-même qui est difficile mais la perception qu’en a la personne, qui l’estime compliquée, chronophage ou simplement peu motivante.

Je partage différents systèmes pour vous aider à arriver à dépasser cette procrastination.

A/ Délégation
Ne jamais oublier cette possibilité 🙂
Déléguer ou sous-traiter un travail est souvent possible.

B/ Association
Quand c’est possible, se motiver à plusieurs pour faire la tâche à plusieurs, ou ensemble en parallèle. Je me rappelle l’avoir fait avec des commerciaux qui repoussaient leur séance de phoning (pas le plus passionnant, surtout seul dans son bureau) : on organisait des séances collectives, le faire ensemble était moins laborieux. De même on peut se mettre à plusieurs pour faire en parallèle des tâches administratives (déclaration d’impôts, etc.).

C/ Ludification

Construire un système de jeu et récompenses peut aider.
On distingue quatre types de récompenses : régénératives, productives, concurrentes et cumulatives.

Régénératives

Se faire du bien pour se redonner de l’énergie. Par exemple en faisant des pauses dans la journée ou pendant le projet :

  • Méditation de 20 minutes dans un espace calme
  • Activités sportive pendant l’heure du repas
  • 5 à 10 minutes d’étirement dans le bureau
  • Parler à un ami pendant 5-10′
  • S’offrir une boisson ou une friandise après une heure de travail
  • etc.

Productives

Se faire plaisir pendant les moments de travail :

  • Avoir une lecture intéressante
  • Faire une réunion dans un bon restaurant
  • Installer/optimiser un logiciel que l’on aime bien (geek only !)
  • Poster sur les réseaux sociaux un contenu intéressant
  • Ranger son bureau (pas forcément un plaisir pour tous !!!)

Concurrentes
Certaines tâches sont tellement ennuyeuses qu’une récompense ne suffit pas. Mais on peut améliorer les conditions dans lequelles elles sont effectuées !

  • Travailler en mangeant dans un restaurant avec une connexion wi-fi
  • Purger sa boîte email en discutant avec un collègue/ami
  • Faire des tâches simples en regardant la TV
  • Ecouter une bonne musique en faisant des tâches d’exécution simples

Cumulatives

Créer un compte spécial qui est alimenté à chaque fois qu’une tâche ou un projet est terminé

  • Compte ITunes
  • Compte épargne spécial pour un projet qui tient à coeur (voyage, achat de matériel…)

Sources :

HBR Guide to Getting the Right Work Done

Passionné depuis mon enfance par le numérique, j’ai toujours exercé ma curiosité technologique en utilisant matériel et services.

Je ne suis pas digital native, mais j’ai eu la chance de pouvoir toucher une console de jeu et un ordinateur suffisamment tôt (10 ou 11 ans) pour avoir développé un sens des usages et une compréhension des technologies. Un grand merci donc à mes parents qui m’ont offert cette possibilité

Attention séquence nostalgie… ou découverte de la préhistoire informatique selon votre âge 😉

Le premier jeu vidéo auquel j’ai joué, sur la superbe console couleur CBS Colecovision (un noël Tech !)

La revue des jeux vidéo Tilt (merci à http://www.abandonware-magazines.org pour les archives !)

Le 1er ordinateur, le commodore C64

Le notre avait un lecteur de disquettes 5″1/4 mais quelques mois auparavant les logiciels tournaient sur cassette, je me souviens chez un ami de lancer le chargement de jeu et d’avoir le temps de jouer dans le jardin 10′ le temps qu’il soit chargé !

Le 2nd ordinateur, l’Atari 520 ST

Quand je repense au nombre de parties auxquelles nous avons pu jouer mon frère et moi-mème dans le grenier 🙂

Le 3ème, l’Amiga 500

J’entends parfois des choses étranges, du type : « A l’époque il n’y avait pas internet, donc pas de piratage ». Et si ! Qui dit support informatique dit facilité de copie. Il existait un système très bien organisé à l’époque de copie sur disquette et d’échange ou vente… par envoi postal ! Il n’y a qu’à vérifier les petites annonces dans Tilt. Bien évidemment ce n’était pas légal, donc… à ne pas pratiquer 😉